
Delphine est issue d'un don de spermatozoïdes
Delphine est issue d'un don de spermatozoïdes
Delphine Née d'un don
Emmanuel et Camille ont bénéficié de dons de spermatozoïdes
Emmanuel et Camille Receveurs
Mélodie et Édouard ont bénéficié d'un don d'ovocytes pour avoir leur fils Gaspard
Mélodie et Édouard Receveurs
Lou et Elena : entre don d'ovocytes et parcours pour recevoir un don de spermatozoïdes
Lou et Elena Receveuses
Les personnes qui ont recours au don de gamètes vont donner beaucoup d’amour à leurs enfants
Je suis persuadé que les personnes qui ont recours au don de gamètes sont des personnes qui vont donner beaucoup d’amour à leurs enfants. Je pense que c’était une bonne motivation pour passer à l’action.
Donner, pour aider à ma manière.
Il m’a semblé important de donner, pour aider à ma manière, les personnes qui n’arrivent pas à avoir d’enfants. Il y a quelque-chose de valorisant dans le fait de donner ses gamètes ; j’ai eu l’impression d’être une héroïne.”
Transmettre ses valeurs à ses enfants et les voir grandir au quotidie
En 2014, nous avons donc décidé de nous lancer dans un parcours PMA avec don de spermatozoïdes. Tout s’est très bien passé, nous avons même recommencé une seconde fois en 2016. Finalement nous avons deux garçons et nous sommes comblés ! Pour mon conjoint, être papa, c’est transmettre ses valeurs à ses enfants et les voir grandir au quotidien. Nous serons toujours reconnaissants de ce geste altruiste.
C’est notre fille parce qu’on se lève la nuit, parce qu’on reçoit des câlins, parce qu’elle nous appelle “maman” et “papa”.
Dire : “ce n’est pas ma fille parce qu’elle n’a pas nos gènes”, c’est complètement faux. C’est notre fille parce qu’on se lève la nuit, parce qu’on reçoit des câlins, parce qu’elle nous appelle “maman” et “papa”.
Je pense souvent à cette femme grâce à laquelle j'ai pu porter mon enfant.
Je pense souvent à cette femme grâce à laquelle j'ai pu porter mon enfant. L'attendre a été un immense bonheur, le sentir en moi m'a permis d'établir des liens uniques et simples : ceux d'une mère avec son enfant.
Aller jusqu'au bout des tentatives que la médecine nous propose
7 inséminations, 4 fiv dont 2 sans transfert. Et finalement un bébé lors d'une fiv ICSI. Le seul conseil que je puisse donner est d'aller jusqu'au bout des tentatives que la médecine nous propose. Les traitements ne sont pas difficiles, les échecs le sont un peu plus. Courage & Amour. Encore merci à toute l'équipe de Jeanne de Flandres.
Zoom sur le centre de don de gamètes à La Réunion
Dr Nathalie FONTAINE Responsable clinique d'Assistance Médicale à la Procréation au CHU de la Réunion
Préserver sa fertilité après un cancer
Dr Christine Decanter Cheffe du service de l'AMP et de préservation de la fertilité du CHU de Lille
L'AMP présente-t-elle des risques pour la santé de la mère ou de l'enfant à naître ?
Dr Claire De Vienne Médecin référent AMP
Quelles perspectives en cas d’arrêt total de l’AMP ?
Dominique Regnault Psychologue
L’AMP a-t-elle des conséquences sur la santé de l’enfant à naître ?
Dr Pierre Giacomini Gynécologue obstétricien
Peut-on continuer à avoir une vie normale pendant l’AMP ?
Valérie Blanchet Sage-femme
Que faire après l’échec d’une tentative d’AMP ?
Dr Joëlle Belaïsch-Allart Gynécologue médicale
Ce n’est pas limité à deux ou trois couples par-ci par-là
On est allés à des réunions d’information et là surprise, je pensais qu’on ne serait que deux ou trois couples, et il y avait une salle pleine avec cinquante personnes. Et là on se dit « oups ! », apparemment le problème existe à grande échelle, ce n’est pas limité à deux ou trois couples par-ci par-là.
Beaucoup d’amis ont avoué avoir eu les mêmes problèmes que nous
De fil en aiguille, les examens ont révélé que ma femme avait quelques problèmes, mais que c’était surtout moi qui avait des soucis de fertilité. On ne se rendait pas compte, mais d’autres couples, beaucoup de couples aujourd’hui ont les mêmes difficultés. Beaucoup d’amis ont avoué avoir eu les mêmes problèmes que nous.
Il faut que le couple communique bien à ce moment-là
Laurence et Arnaud Trois tentatives de FIV, des jumeaux.
On a choisi de le dire, assez librement
Juliette et Clément Une tentative de FIV, des jumeaux
Je voudrais dire aux couples qui ont des soucis : faites confiance, acceptez ce petit coup de pouce
Stéphanie et Philippe Un enfant, quatre tentatives de FIV avec ICSI
Le fait qu’on me parle de la FIV, ça m’a vraiment soulagée
Céline et Pascal Un enfant après trois tentatives de FIV
C’est comme un examen chez le gynécologue, ce n’est pas douloureux
La FIV ICSI est une technique où l’on va choisir un seul spermatozoïde pour l’injecter en laboratoire dans un ovocyte et essayer d’avoir un embryon pour ensuite le replacer dans l’utérus de la femme. Avant, on reçoit un traitement hormonal pendant deux mois, et sur la fin, la dernière semaine ou les quinze derniers jours, il y a des prises de sang et des échographies très régulièrement. Pour moi, c’était quasiment tous les jours. On nous appelle le soir en nous disant « voilà, votre taux d’hormones était à tant, donc ce soir il faut faire une piqûre de tant de millilitres », jusqu’à ce que les ovocytes soient considérés comme assez matures pour être ponctionnés. Il y a la ponction et deux jours après, on vient replacer les embryons. C’est comme un examen chez le gynécologue, ce n’est pas douloureux. Ensuite, on attend quinze jours pour savoir si on est enceinte ou pas.
C’est comme si le fait que je n’avais pas eu de cycles réguliers depuis longtemps m’avait préparée psychologiquement à être infertile
C’est comme si le fait que je n’avais pas eu de cycles réguliers depuis longtemps m’avait préparée psychologiquement à être infertile. Ça n’enlève rien ni à la déception, ni à la tristesse que j’ai pu ressentir, mais je ne dirais pas que j’ai ressenti de la culpabilité. Je ne me suis pas dit : « je ne suis pas une vraie femme » ou des choses comme ça.
On ne se rend pas compte que beaucoup de couples ont les mêmes difficultés
Caroline et Frédéric Un enfant après quatre tentatives de FIV avec ICSI et un bébé surprise